Birmane
Christophe Ono-dit-Biot
Plon - août 2007
César est secrétaire de rédaction dans un magazine féminin et crève de jalousie devant Blanchart, le "grand-reporter" spécialiste de la Birmanie devant lequel se pâme toute la rédaction.
A l'issue d'une rupture sentimentale rapide, César se jette dans les bras de ce pays, décidé à en rapporter une interview exclusive du plus grand trafiquant d'opium. Inconscient du danger et bardé de son incompétence, César rencontre Julie, médecin humanitaire, et un certain nombre de personnages plus ou moins troubles, qui le conduiront au coeur de la Birmanie actuelle.
J'avais entendu l'auteur parler de ce livre cet été à la radio, et depuis j'avais très envie de me laisser emporter par cette histoire. Finalement il aurait peut-être mieux valu qu'il lise l'intégralité de son livre, car je n'ai pas été emballée par son style que j'ai trouvé haché et fourni d'images un peu grossières. L'histoire quant à elle était cousue de fil blanc et je reste un peu sur ma faim quant à ce que je m'attendais à découvrir de la Birmanie.
Bien. Sans plus.
Christophe Ono-dit-Biot
Plon - août 2007
César est secrétaire de rédaction dans un magazine féminin et crève de jalousie devant Blanchart, le "grand-reporter" spécialiste de la Birmanie devant lequel se pâme toute la rédaction.
A l'issue d'une rupture sentimentale rapide, César se jette dans les bras de ce pays, décidé à en rapporter une interview exclusive du plus grand trafiquant d'opium. Inconscient du danger et bardé de son incompétence, César rencontre Julie, médecin humanitaire, et un certain nombre de personnages plus ou moins troubles, qui le conduiront au coeur de la Birmanie actuelle.
J'avais entendu l'auteur parler de ce livre cet été à la radio, et depuis j'avais très envie de me laisser emporter par cette histoire. Finalement il aurait peut-être mieux valu qu'il lise l'intégralité de son livre, car je n'ai pas été emballée par son style que j'ai trouvé haché et fourni d'images un peu grossières. L'histoire quant à elle était cousue de fil blanc et je reste un peu sur ma faim quant à ce que je m'attendais à découvrir de la Birmanie.
Bien. Sans plus.