L’aube, offerte, porteuse de toutes les promesses d’une nouvelle journée ? L’aube, vierge de tous les tracas du quotidien qui polluent le cerveau.
Le soir, à la faveur de la pénombre, du calme enfin revenu, riche de toutes les émotions de la journée. Ou encombré, peut-être un peu, par tout ce qui fait notre actualité.
La nuit, instant unique, verso du jour, début d’un long voyage qui peut aussi vous embarquer.
Si j'avais le courage, j'écrirais le matin.
Si j'étais moins fatiguée, j'écrirais la nuit.
Reste le soir... mais j'ai la tête lourde. Pas de vraie solution. Plutôt des solutions de repli.
Quel moment préférez-vous ?
