décembre 11, 2006

Madeleines : Deuxième : Rabbi Jacob

En cette période propice aux souvenirs d'enfance et au laisser-aller régressif, je me laisse lentement mais très sûrement glisser dans une torpeur toute invernale et infantile, petite parenthèse au coeur de la vie.

Alors en deuze, et dans le désorde, un extrait de mes favoris : Rabbi Jacob (film de Gérard Oury, 1973, pour les gens qui ne connaissent pas).




Personnellement, et encore une fois, je ne m'en lasse pas !

décembre 08, 2006

La déferlante pin-up

Bettie Page, Betty Grable, sont des icônes de la vague pin-up qui déferla sur les États-Unis en particulier, dans les années 40.

Cette image de la femme sexy me plaît parce qu'elle n'est pas vulgaire.

Donc les pin-up dont plus personne n'ignore l'origine du nom puisque ces dessins étaient à l'époque punaisées sur les murs, et les cabines des camionneurs, mais également dessinées sur les carlingues des avions.

Il n'y a pas beaucoup plus à en dire, mieux vaut en voir, ma foi :









Madeleines : Première ! Le Jerry Lewis de mon enfance

Je suis quelqu'un de très nostalgique et j'ai un milliard de madeleines dont je pense que je ne me lasserai jamais.

En premier épisode : Jerry Lewis. Il me fait rire. C'est comme ça.

Pour moi il est l'archétype du comique, le roi du "slapstick" (autrement dit de la grosse farce), et une vraie source d'inspiration pour tout un tas d'acteurs comiques actuels (Jim Carrey, au hasard). Il en fait des tonnes, mais ne me lasse pas.
Et oui, quand je le regarde, j'ai 12 ans et demi !

En 1946, sa rencontre avec Dean Martin donne lieu à des duos hilarants où clairement ils n'avaient pas l'air de s'ennuyer :




Et un de mes extraits préférés, du film "Nutty Professor" (Docteur Jerry et Mister Love) :