décembre 09, 2009

Les signes existent (encore faut-il les voir... et y croire!)

Cette semaine, je traînais mon découragement, ma fatigue et mes questions existentielles du we au sujet de mon roman quand j'ai reçu quelques signes des plus encourageants.
Des signes clairs, nets et précis, qui auraient difficilement pu être plus explicites.

Ainsi, alors même que lundi matin je ne voyais pas bien comment j'aurais pu écrire sur l'enfance d'une enfant pendant la seconde guerre (qui ne soit pas Anne Frank), je suis littéralement tombée sur un bouquin intitulé "Journal d'un enfant pendant la guerre".
ça sèche non ?

Et mardi, alors que je me demandais encore comment rendre compte fidèlement du Paris des années 50, un mail est directement arrivé dans ma boîte, me proposant de consulter le fonds de Roger Violet... Une tonne et demi de photos, dont trois quintaux du Paris des années 50.
Autant dire une manne.

Alors bien sûr, ce sont des coïncidences, et bien sûr, je suis à l'affût de tout ce qui pourrait me servir à écrire ce livre mais quand même, bande de septiques, avouez que ce sont de sacrés signes, non ?

Et vous, les signes ? Vous en voyez ? Vous y croyez ? Et qu'en faites-vous ?

1 commentaire:

  1. Un soir, j'étais venu voir Richard Bohringer aux abords de la radio pour laquelle il travaillait à l'époque. Je lui avait écrit une lettre à la suite d'un de ses livres et dans les 3 jours qui ont suivi il m'avait répondu "viens !". J'hésitais à entrer, alors j'attendais je ne sais quoi à 100 mètres de la radio. Une place parking juste à côté de moi se libéra et une petite voiture vint se garer à sa place. Richard Bohringer en sortit. Je me suis dis que c'était le "signe" dont tu parles. Je me suis présenté, il m'a emmené partout ce soir là. Un souvenir inoubliable. J'avais juste "foncé" sur "mon" signe.

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