Dimanche soir, le retour de l'angoisse du dimanche soir même quand tu ne travailles pas le lendemain.
Le comble du salarié en arrêt de travail, non ?
Je me suis imaginée de retour à mon bureau, vissée devant mon écran 8 heures par jour, 5 jours par semaine, 47 semaines par an.
N'en jetez plus. L'asphyxie nerfs-neurones me guette.
Je fais la maligne comme ça, mais je peux vous dire que "cogito mucho, convaincue ergo sum".
Ma santé mentale et physique sont en grave danger.
A moi donc les lettres de motivation très motivées, voir originales (on tente, non ?) et le CV gonflé à bloc.
Urgent : recherche, cause dépérissement avancé de mon moi profond, travail de rédacteur pour plume alerte et dégourdie.
Agence de com s'abstenir.
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