janvier 10, 2009

Le vent souffle moins fort à Venise


Après avoir découvert Claudie Gallay comme beaucoup d'entre nous au travers de son livre Les déferlantes, grand succès et découverte de l'été, j'ai lu Seule, Venise pendant les vacances de Noël, et j'ai retrouvé sa voix. 
Le personnage féminin qui est peu ou proue le même que dans Les Déferlantes, sortant d'une relation amoureuse forte et quitte son univers quotidien pour Venise au coeur de l'hiver. 
Si l'environnement est tout autre puisque La Hague cède la place à Venise, il n'en est pas moins présent même si moins virulent, tout comme la douleur de l'abandon est ici moins forte, mais toujours au premier plan.
Le vent souffle moins fort à Venise, mais il serait dommage de se priver de cette lecture où une fois encore, la voix de Claudie Gallay est belle et bien présente. 

Seule Venise, Claudie Gallay, Actes Sud 2005,

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