juin 28, 2010

Mauvaises ondes

On a pris un sale tournant.
Les licenciements récents intervenus sur France Inter, la très prochaine nomination du nouveau président de France Télévision, sont autant de pavés dans la mare de la liberté d'expression, et le service public n'a jamais aussi mal porté son nom.

Qu'on aime ou pas le ton de Guillon et Porte, ce n'est évidemment pas le propos.
Quoiqu'il en soit, il n'y a pas eu débat, c'est terminé.

France Inter en burqa, comme le disait Guillon vendredi, c'est semble-t'il une réalité.
Le gouvernement n'est pas à une contradiction près.

2 commentaires:

  1. c'est Voltaire qui disait (en gros)
    "je ne suis pas d'accord avec ce que vous dîtes mais je me battrai pour que vous puissiez continuer à le dire!"
    FARPAITEMENT!
    Non mais...
    commence sérieusement à me chauffer les oreilles, tous, là...
    groummpf...

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  2. la trollette : sacré Voltaire, l'était fort. on aurait bien besoin d'un gars comme lui par ici...

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