bon bon bon
comme à chaque fois que je traverse une période de boulot démente, je cogite sans arrêt en arrière de mon cerveau sur les choses que je RÊVE de savoir faire / d'avoir le temps de faire / d'apprendre à faire.
ça doit être une façon que mon cerveau a de se libérer les neurones surchauffés par une activité trop intensive.
En général, ça se termine par du grand délire, du genre : je voudrais apprendre à cuisiner un nouveau plat par semaine, alors que cuisiner est une des activités qui me met le plus sur les nerfs du monde.
ça et me vernir les ongles.
Mais les ongles, c'est moins obligé que la cuisine.
et puis j'aime bien manger.
Donc, je disais que les périodes d'activité intense rendent les idées de temps libre fantasmagoriques, et là, je ne me contente plus de vouloir avoir le temps d'écrire, je voudrais aussi apprendre à dessiner en un tour de main, et apprendre le violoncelle (ou, ça me tient, et je crois pas que je vais attendre la retraite pour m'y mettre (la patience c'est pour qui, en vrai ?)).
Et aussi me mettre au jogging, mais ça il n'y a aucune chance, vu que mon pied n'est que douleur dès que je fais un peu la course avec ma fillotte.
Mais je gagne quand même à chaque fois.
bon ok, elle n'a que huit ans.
Et vous, vos délire de "quand j'aurai le temps", c'est quel genre ?
J'ai la même réaction que toi. En cas de surchauffe, mon cerveau se refroidit avec des idées de loisirs irréalisables qui contribuent a nourrir ma grande frustration.
RépondreSupprimerAlors :
apprendre l'italien....et faire le tour de l'Italie
cuisiner frais tous les jours et faire un atelier de cuisine par mois
dessiner
courir mais illusoire vu mon périnée ramolo
nager
(re)monter a cheval
faire de la barre au sol
suivre des cours d'histoire de l'art
essayer de comprendre la philo...
écrire un livre...
ahahahahahaha
Miss Zen : écrire un livre ? Quelle drôle d'idée ?! ahahahaha...
RépondreSupprimerla barre au sol, si tu trouves un cours, je t'accompagne, j'en ai toujours rêvé !