Mais aujourd'hui, je me demande vraiment quand est-ce que le délire du monde du travail va prendre fin. Encore un suicide sur lieu de travail annoncé, et une préoccupation grandissante : le travail ne devrait pas tuer. Au XIXe on se tuait à la tâche, on mourrait dans les mines, au XXIe on se tue à la tâche mais l'épuisement est moral, plus physique. Et il est évitable. Il est surtout le symptôme d'une société qui va mal, d'un monde qui court trop vite pour l'homme, qui refuse de l'admettre. Comment fait-on pour ralentir le monde ?
Je milite pour le slow life, tout en ne parvenant pas moi-même à l'appliquer. Je sens une paire de bras me pousser dans le dos (ça pique), et dans ma tête, je rêve de ça :

Hé oui, sorry, le fantasme du hamac is back ! AHAHAHAHAH !!!!!!!!!
(Oui, c'est le grand écart, dans ce billet, mais la vie, c'est ça aussi.)
Je soutiens aussi le "slow life". Et je fais des progrès énorme. Vive le retour du hamac !
RépondreSupprimerMiss Zen : hamac for ever... pour le slow life, il faudrait que je change de métier. Again.
RépondreSupprimerMais... je m'améliore !
avant le hamac, retrouver le lieu de travail comme un havre d'épanouissement et de partage
RépondreSupprimerArrêter la compétition absurde, le mépris des salariés, le rejet
Par exemple, cher Anonyme, par exemple... Cette idée fait rêver...
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